Le 6 février 2011, je me suis réveillée défigurée. Victime d'une paralysie de Bell atypique, le coté gauche de mon visage était paralysé. Commence la bataille. Embarque la douleur. Six mois plus tard mon visage avait retrouvé sa symétrie. Mais sous la peau, les dommages causés à mon nerf facial sont irréversibles. Invisibles. Ainsi j'ai découvert le mystérieux clan de la douleur chronique...
jeudi 7 mai 2015
Contrôler ses pensées en tout temps...
Régulièrement, parce-que je le pousse, avec "pacing" mais sans pitié, mon corps tombe. Assommé. Merci bonsoir! Les jours de traitements physiques, il me trahit vite. Toujours trop vite à mon goût.
Et c'est comme cela que je tombe comme une masse quand rentre l'homme du travail. Hors service la mère. Mon corps fait un shut down. À peine si je me rends compte que je tombe comme une chiffe molle.
Je ferme les yeux deux minutes à sept heures du soir et bang! Je me réveille à une heure du matin sans plus rien comprendre à ma vie. Ce qui n'est pas pratique pour se rendormir aussi vite. La douleur faciale se fend la gueule (enfin surtout la mienne). L'insomnie me dit: "Salut à toi oh ma soeur!" et les pensées bordéliques font leur petit show nocturne.
Ma foi, me dis-je, autant en profiter pour créer un coup...
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